Je n'ai pas de crainte à perdre ce que je m'amuse à donner.
Ni l'intimité de cette reflection, je faisais la vaiselle lorsque je pensai à cela, ni ce que quiconque pourrait en faire. Ces mains plongées dans ce jus tièdasse. Je ne les essuierai pas pour vous l'écrire, ce jus. Il y a dans cette eau de vaiselle les résidus de mon intimité et cela ne regarde personne. Les héros, je les aime à cheval, tête couverte d'un plat de barbier. Alors seulement, ce me semble prétendre folâtrer,en compagnie du désordre des touches du clavier ? Je ne jouerai pas les saint-sébastien de l'intimité. A moins que cela ne vous fasse plaisir... Car c'est de cela qu'il s'agit, n'est-ce pas ? De créer du plaisir. Aussi de façon maladroite, sous la forme végétale d'une question, ortie, aussi ? Et si elle pique; surtout si elle pique. Mes meilleures flèches sont pour mes amis, non ? Oui, du plaisir 'avant toutes choses' mêler au travail à le créer. Aux désirs ouverts aux vôtres ! Pourvu qu'aucun sentiment ne se répende aux pieds du cyclope ? Qu'importe!!! Rien n'est sacré lorsque je donne, ce pied d'estale où le jeu se transforme en théatre, je ne le gravis pas, rien n'est grave. Même pas la mort ? Surtout pas la mort : ) 'Nous sommes tous morts.' Aimez-vous jouer ? Avec qui jouez-vous ? Avez-vous fait des ricochets sur l'eau ? Avec des pierres plates ? Des ronds sur une peau d'eau ? ( A ceux du rond sur l'eau proche de la pierre, je donne des plaisirs, nous le savons,) au sens le plus large possible, comme ouvert à la rondeur du monde, non ? Sans wrong, ni right, ni right, sans left, et ce plaisir pourvu qu'il soit gratuit à consumer sans consommer, à donner, à recevoir, |